[Linux-bruxelles] 5G : Bonne nouvelle

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Le 03/05/2020 à 18:48, Pierre Beaumadier a écrit :
> Les indications scientifiques des effets des ondes électromagnétiques 
> qui ne sont pas ionisantes sur les mammifères sont très limitées ... 
> sauf les effets caloriques.
Sur l'autel du besoin absolu d'augmentation de capacité (que je remets 
totalement en question), on va non seulement augmenter la consommation, 
augmenter les émetteurs _et jouer avec des fréquences de plus en plus 
élevées_, puisqu'on planifie déjà l'affectation de fréquences autour de 
60 GHz en 2023...

Nous surconsommons déjà actuellement les possibilités de cette planète: 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jour_du_d%C3%A9passement

Si on a des besoins de transmissions de vidéos en 4K (bientôt 8K), il 
faut le faire par solution câblée (coax, fibre optique, cuivre, ...) et 
non en wireless car la solution wireless est incroyablement plus 
gourmande en énergie que la solution câblée (particulièrement fibre 
optique) (voir un de mes posts précédents pour les chiffres)

L'utilisation _aveugle_, sans aucune étude sanitaire préalable, alors 
qu'on _sait_ que les ondes électromagnétiques au-delà de 1 GHz (à la 
louche) interagissent de diverses manières avec le vivant est une 
_folie_ (voir mes posts précédents)

En fait, ça n'a rien à voir avec la 5G, mais bien avec une évolution 
continue et classique dans nos économies: la croissance exponentielle. 
Hors, elle ne peut être infinie dans un monde fini, et nous avons déjà 
reçu plusieurs "warnings", tels le changement climatique, qui, à lui 
seul, condamne l'humanité entière à la disparition dans deux siècles si 
on continue au rythme actuel.

Comme je l'ai indiqué dans des posts précédents, lorsque je travaillais 
dans le domaine du satellite, on était prévenus qu'il y avait _danger de 
mort_ si une fuite d'ondes n'était pas détectée immédiatement. Hors, de 
mémoire, les up-links émettaient de l'ordre de 500W et les fréquences 
étaient de l'ordre de 6 GHz. On parle maintenant, pour soi-disant 
répondre aux "besoins" de transmissions de données, d'émetteurs de 50 kW 
émettant jusqu'à des fréquences de 60 GHz (voir mes posts précédents).

Autoriser cela (et c'est déjà fait aux USA, 26-28 GHz et dans les tuyaux 
en Europe, voir mes posts précédents pour les références), c'est _de la 
folie_ et je m'explique.

On a découvert totalement par hasard la fréquence du micro-ondes (de 
cuisine) qui est de 2,45 GHz, pourtant on connaissait très bien déjà la 
molécule d'eau.

On a découvert totalement par hasard les "rayons X", en faisant circuler 
des électrons dans le vide, alors qu'on connaissait très bien les 
électrons et le vide.

On a découvert la radioactivité, ce qui a causé de nombreuses maladies, 
y compris mortelles, chez les chercheurs qui y ont touché au départ, 
alors qu'on pensait connaître la matière et les ondes à l'époque.

On ignorait simplement les effets de ces découvertes sur le vivant. Ce 
n'est pas parce qu'on _*ignore*_ les effets d'une nouvelle application 
sur le vivant qu'elles n'en ont pas. Et en plus, on a plein de 
contre-exemples qui _*prouvent*_ qu'il y a des effets néfastes, plus ou 
moins inconnus (voir les documents de la NASA dans un de mes posts 
précédents).

Je me rappelle, de l'époque où je travaillais dans le domaine du 
satellite, que l'atmosphère "absorbait" toute une série 
d'hyperfréquences, mais on ne jouait alors que jusqu'à la bande Ka 
(https://fr.wikipedia.org/wiki/Micro-onde#Bandes_de_fr%C3%A9quence). Ces 
absorptions atmosphériques, que voici:

https://www.researchgate.net/profile/Fabien_Louvet/publication/281184909/figure/fig9/AS:614355771080724@1523485238984/Absorption-atmospherique-du-spectre-electromagnetique-au-niveau-de-la-mer-Credit.png

nous démontrent que l'atmosphère contient, ici où là dans le spectre, 
des éléments (dont l'eau, le CO2, l'O2, ...)

Illustration plus précise:

Hors le vivant est, bizarrement, très bien adapté à résister aux 
rayonnements qui, depuis qu'il existe, atteignent le sol, comme les 
rayons visibles, les ondes radio, ...
Par contre, bizarrement, le vivant (nous) décédons dès qu'on nous expose 
à des rayonnements qui sont absorbés par l'atmosphère (UV-C, rayons X, 
rayons ϒ, micro-ondes à 2,45 GHz, ...)
Pourquoi ne résistons-nous pas, justement, à ces ondes 
électromagnétiques ? Parce qu'une "entité" nous aurait prévu pour cette 
atmosphère ?
Non. Tout simplement parce que pendant toute la période de développement 
qui nous a amené à ce que nous sommes devenus (homo sapiens sapiens dans 
le meilleur des cas...), nous n'avons pas eu besoin de développer des 
défenses contre ces rayonnements, et du coup, nous n'y résistons pas. Si 
pendant toute l'évolution, nous avions été soumis à des rayonnements à 
2,45 GHz, soit nous n'existerions pas, soit nous nous y serions adaptés.

Au-delà de ~ 1GHz, on entre dans le domaine des micro-ondes. Et NOUS 
SAVONS que certaines fréquences sont nocives pour nous, voir mortelles. 
Mais nous _ignorons_ totalement les effets potentiels (et probables) de 
toutes ces plages de fréquences auxquelles _nous avons toujours été 
protégés par l'atmosphère_. Nous n'avons appris, jusqu'à présent, que 
les effets des "micro-ondes à 2,45 GHz", des rayons UV-B (cancers) et 
UV-C (cécité), des rayons X ou ϒ (cancers, leucémies, décès par 
irradiation, ...) mais il nous manque certainement la connaissance de 
plein d'autres pièges, *auxquels notre évolution ne nous a pas préparés 
parce que nous en avons toujours été protégés par l'atmosphère*. On 
pourrait dire "on subit le rayonnement de nos satellites depuis des 
décennies maintenant et sans effet néfaste mesurable" mais
1° Vu que leurs ondes doivent nous atteindre, on n'utilise justement que 
les fréquences qui passent bien à travers notre atmosphère
2° Vu leur puissance, ces ondes nous arrivent à un niveau tel qu'il faut 
une antenne parabolique, avec un effet de gain _énorme_, et un récepteur 
ultra-sensible (le LNB 
<https://en.wikipedia.org/wiki/Low-noise_block_downconverter>) pour 
pouvoir les mesurer.

Donc, en ouvrant à exploitation, à partir du sol, toutes les fréquences 
allant de 3 GHz à 60 GHz (dans un premier temps), avec des puissances 
autorisées _qui augmentent avec la fréquence_ (voir pourquoi dans mes 
posts précédents), on va simplement faire une expérimentation grandeur 
nature sur l'ensemble de la population, pour voir quelle_*s*_ fréquences 
auront des effets non documentés, inattendus sur l'homme. Et c'est 
exactement ce que nos "responsables" politiques ont signé ou se 
préparent à autoriser.

Le micro-onde (à 2,4 GHz) interagit avec la molécule d'eau, et ça suffit 
à tuer un chat (ou un technicien, voir mes posts précédents).
D'autres bandes d'absorptions de l'atmosphère correspondent à l'oxygène, 
au CO2, etc... Hors nous en avons en nous ! Si on émet massivement 
(c'est-à-dire bien plus que un rayonnement d'un satellite vu du sol), 
quels seront les effets sur l'homme ? Surprise ! On va voir !

Quelle est la fréquence de raisonnance des quatre bases qui forment 
l'ADN ? Quel seront les conséquences de la destruction (ou de la 
mutation) de chacune d'entre elles à l'échelle d'un corps entier ? 
Surprise ! On va voir...

Etc.

L'utilisation, à ces niveaux d'intensités, au sol, à proximité des 
populations, dans ces plages de fréquences inconnues, *_ne peut se 
concevoir sans une étude sanitaire indépendante à l'échelle 
internationale_*.

Et, cerise sur le gâteau, les fréquences que nos autorités 
"responsables" attribuent à ce service terrestre est, évidemment, _*le 
complément*_ des fréquences déjà attribuées aux satellites, et donc 
tombent systématiquement dans *ces fréquences que nos corps n'ont jamais 
eu à subir* de la part sources externes, de l'espace !

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