[Linux-bruxelles] Le Soir: Pourquoi ne pas libérer notre ordinateur

[Frederic Peters]

Pierre Poissinger écrivait :

> A mon avis, critiquer la forme plus que le fond me semble decevant...
> et of course, je me dois d'ouvrir ma grande guelle...
> Le type a bosse sur cet article, et on voit juste de la critique genre
> "illisible"... je trouve ca acceptable sur une ML avec des code
> reviews et des patchs correctifs - ici, rien de constructif...

Je ne suis pas très bien le raisonnement; ici c'est une liste
d'utilisateurs, pas de développeurs, si tu veux voir patches et
relectures, je t'invite sur http://bugzilla.gnome.org/ (ou
quelqu'autre équivalent système).

Ou tu parlais de critiques, constructives, plus précises sur le texte
en question ?

Sur la structure d'ensemble, l'enchaînement des idées, ça ferait
peut-être beaucoup, je vais donc me contenter d'un point, sur lequel
chacun sera bien sûr libre d'avoir un avis propre.

  [...] il compte sur son voisin, qui « trouve » sur internet les
  nouvelles versions des logiciels [...] Ce même voisin lui a appris à
  se servir de ces logiciels et à télécharger de la musique facilement.

Dans ce paragraphe, on passe du non-respect d'une licence logicielle
au sympathique geste du voisin qui passe son savoir, et enfin à une
action où je vois un sous-entendu qui me dérange, que télécharger de
la musique s'apparente forcément à du « piratage ».


> > On peut à la fois apprécier les logiciels libres et les textes bien
> > écrits, il y a d'ailleurs récemment eu quelques message à ce sujet
> > (fil "[HS] un peu de littérature").
> Il y'a plusieure facon de faire des critiques - l'arrogance me semble
> deplacee dans ce cadre...

Je ne voyais pas d'arrogance quand je regrettais que l'article n'était
pas terrible, ni quand Miguel ensuite était peut-être un peu plus dur
mais pointait vers un exemple de ce qu'il jugeait bien mieux, ni quand
Rémi finalement venait avec son propre commentaire où il s'affichait
ouvert à une discussion enrichissante avec les auteurs.


De manière générale peut-être n'en sommes-nous plus à nous extasier
chaque fois que le logiciel libre apparaît dans un journal...


        Frédéric