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[Marc Arnoldy]

Giovanni Rapagnani a écrit :
> Salut,
> 
> Marc Arnoldy wrote:
> 
>> ps on dit ma liberté commence ou commence celle de l'autre, non?
>>
> Non, plutôt : "Ma liberté s'arrête là où commence celle des autres".
> 
> Giovanni.
Imaginons le dessin d'une même réalité. Je suis un noyaux entouré de 
gelée représentant ma (mes) liberté(s). Nous sommes d'accord que ma 
liberté à une limite. En partant de moi, ma liberté s'arrête là ou 
commence celle de l'autre. Si je me prends comme point de vue la limite, 
d'un côté commence la liberté des l'autre (ou des autres) et de l'autre 
commence la mienne. Je peux donc dire que ma liberté comme celle de 
l'autre commence à cette limite et peut être que ce sont les limites qui 
nous rendent libres... : )

J'en conclus que j'ai raison aussi. Et j'aime mieux l'idée que si 
l'autre est libre, je le suis également. Si l'autre n'est pas autonome, 
je dois m'en charger. si il (elle) gagne en autonomie, je dois juste 
prendre soins de la relation qui nous unit.

C'est clair ou on ré-explique à une LCP? Un groupe de travail? un liste 
thématique? Fred?

Bonne soirée,			Marc A
>