[Linux-bruxelles] Encore un abus de position dominante!

[David GLAUDE]

J'aimerais ouvrir un débat qui dépasse le libre mais génère des
situations à tendance monopolistique ou qui exclue souvent des logiciels
alternatifs...

Il existe des logiciels qui doivent être "certifié" ou "validé" pour
pouvoir être utilisé dans telle ou telle profession. Quelques exemples:
* Pour pouvoir lire la carte SIS et pour certain logiciel pour médecin,
il faut que le logiciel soit "vérifié" et répond à certaine règle que
l'état défini.
* Pour gérer une comptabilité électronique qui soit valable
* ...

Dans le cadre des agences immobilières, je pense que l'agence doit
conserver une liste de clients auquel un bien a été présenté. L'objectif
est que le client qui n'a pas réussi à vendre son bien via un agence,
reçoive de la part de celle-ci une liste d'acheteurs potentiels auquel
il ne peut pas vendre sans payer son pourcentage à l'agence.

Je rêve peut-être, mais je pense avoir entendu parler d'un label ou un
truc comme cela.

Je suppose que l'état a de bonne raison de protéger les clients des
agences et que si des règles de contrôle comme cela existe c'est que
c'est nécessaire.

Néanmoins, pratiquement, cela pose problème pour des logiciels libres
(ou fait maison). Cela pose problème également car une "validation" se
fait sur une version particulière... si on a les sources et que l'on
peut faire une petite modif, cela casse le principe de validation.

Donc souvent les logiciels "vraiment libre" se trouvent exclu car ils
sont trop dynamique et changeant. Personne ne peut "se payer" la
validation, ...

J'aimerais avoir votre expérience sur ce genre de logiciel qui doivent
répondre à des contraintes légales stricte et pour lequels il y a une
sorte de validation.

Dans quelle mesure ces contraintes légales sont pertinantes?
Dans quelle mesure cette validation pourrait être bidon?
Dans quelle mesure c'est du protectionisme pour que seul les acteurs
locaux puissent développer un logiciel "valide"?

Qu'en pensez vous?

David GLAUDE