[Linux-bruxelles] Sondage Linux Café à Bruxelles
Miguel Quaremme
mquaremme at cire.irisnet.be
Jeu 15 Avr 11:04:09 CEST 2004
ASH a écrit :
> Eric Freyens wrote:
>
>> Bonjour à tous, Est qu'un linux café à Bruxelles vous intéresserait
>> et avec quelle fréquence ?
Bonne idée !
Quant à la fréquence, je crois que mieux vaut laisser les choses ce
faire sur rendez-vous via la mailing liste.
>> Projet d'un café dans lequel on pourrait amener sa machine pour
>> faire une configuration,
Avec des gens à moitier saoul qui renversent leur verre de bierre sur
mon portable :-s
>> un lieux de rencontre et de discussion, avec des informations sur
>> des langages et des programmes.
Cool
>> Et en plus on pourrait boire un verre.
Garçon , un lait de chêvre sans faux-col ! :-D
>
> L'idée est sympa :) mais le tout est de trouvé un 'café' qui accepte
> et a une connexion internet.
Ça je crois que c'est le vrai problème.
j'ai déjà le nom nom du café « Debian Inferno » ;-)
> As-tu des pistes : cyber café, salle de jeux en réseau, etc... ? Mais
> faut-il un lieu public, la plaine ne convient pas ? Est-ce un
> problème de trouver un endroit?
Pour les jeux de rôle sur Bruxelles, il y a la « Porte noire », c'est
une ambiance conviviale où il y a moyen de faire la papote et de
rencontrer bon nombre de rôlistes pour des échanges plus ou moins
formels. Le lieu se prête bien à ce genre de réunion (caves voutées en
brique). D'un autre côté les rôlistes ne sont pas très exigeant, il
leur faut une table et de la bierre.
Donc dans l'optique café, il faudrait que le gérant soit d'accord qu'on
bricole un peu son établissement pour qu'il convienne à nos besoins
(principalement connexion et prises de courant).
Moi j'aime bien l'aspect public qui permet de rencontrer d'autres
personnes. Un endroit où je peux emmener des copains et y en rencontrer
d'autres. La mixité quoi. De plus cela permettrait de faire de la
publicité pour GNU/Linux.
Dans l'optique barricade (il paraît que Barricade est très sympa ;-)),
il faudrait trouver une asbl ayant des locaux suffisament grands pour
nous accueillir et qui se situe pas trop loin de chez moi. Par ailleurs
cela engendre des coûts qu'ils conviendraient de connaître et imaginer
comment les supporter.
Pour l'avoir déjà fait, passer du « squatage » à la « location »
représente au moins la même somme d'emmerdes que de passer d'association
de faits à asbl (plein de papier, de responsabilité, l'état d'esprit qui
change, le trésorier qui devient systématiquement avare, etc.)
--
Miguel Quaremme | « L'autosatisfaction est le début du déclin »
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