[Linux-bruxelles] Venezuela's Government Shifts to Open Source Software

[Frederic Peters]

Pfff. Sommeil.

Nicolas Forget écrivait:

> l'histoire c'est que obliger a etre libre, ce n'est pas etre libre.

Tu fais des lignes trop longues. (Et à ça, pas de "C'est ma liberté")

Et ce que tu racontes est complètement à côté de la plaque.

"Oh! Les pots catalytiques sont obligatoires. Et ma liberté de rouler
 en polluant autant que je l'entends ?"

Rien à voir.

> pour etre libre on doit en avoir le choix. il fat que les gens

Va donc interviewer Microsoft Word pour lui demander s'il a envie
d'être libre...

On parle de logiciels et de _règles_ que l'on voudrait _imposer_
concernant ce qu'on entend par "acheter un logiciel".

La situation actuelle est "vous payez, vous n'avez aucun droit sur le
logiciel. (pause). Vous repayez, vous n'avez..." ad [infitumn|nauseam]

L'état voudrait que lors de l' "achat" de logiciel, il dispose d'un
peu plus de latitude concernant l'usage du logiciel.

Il se fait que cela coïncide avec les logiciels libres.

(et je rappelle que concernant le Venezuela, c'est des motivations
bien plus pragmatique d'exil de capital qui jouent)

> il ne faut pas laisser faire, c'est clair il faut inciter,
> explqiquer mais pas imposer... si demain tu m'obliges a employer
> qqch parce que c'est mieux que ce que j'emploie, va chier...

Frigo sans CFC, pots catalytiques, essence sans plomb, viande sans
hormones...

"Va chier" ?

Pour l'environnement, la santé... ça passe. Avec l'informatique, ça ne
passe pas.

Tss.

-- 
Frédéric Péters <fpeters at theridion.com> <fpeters at debian.org>
Théridion, spécialistes GNU/Linux, rue de l'Aqueduc 83 - 1050 Bruxelles
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